Formats du mémoire

Ne concerne pas pour l’instant les internes issus de la réforme du 3e cycle

Mémoire-Thèse :
La thèse de doctorat d’exercice peut, en tout ou partie, tenir lieu de mémoire si elle porte sur un sujet de médecine générale. L’accord du coordonnateur est requis par l’intermédiaire de la fiche « mémoire ». Une partie achevée de la thèse de médecine générale non terminée et en cours de rédaction peut aussi, dans certains cas, constituer un mémoire, à condition que cette partie soit cohérente, se suffise à elle-même et fasse référence à une bibliographie et des recommandations pour la bonne pratique clinique après l’accord du coordonnateur selon les mêmes modalités. Une thèse portant sur un sujet de médecine générale prend en compte le rôle du médecin généraliste par rapport au thème traité.

Mémoire-RSCA :
Un mémoire-RSCA porte de préférence sur une situation clinique vécue par l’interne en ambulatoire (stage de niveau 1 – idéalement lors de la période d’autonomie sans supervision directe, SASPAS ou remplacements). Dans tout autre cas, la discussion sous l’angle de la médecine générale sera indispensable pour la validation.
Un mémoire-RSCA peut être un RSCA du portfolio répondant à ces critères, remis en forme et présenté comme mémoire avec références bibliographiques en format Vancouver.
Ce peut être aussi un 6e RSCA non pris en compte pour la validation du 3e cycle.
Le RSCA choisi doit mettre en valeur la réflexion critique sur les décisions prises en fonction de l’acquisition progressive des connaissances et selon les recommandations pour la bonne pratique clinique (HAS), les preuves scientifiques et les circonstances pragmatiques du patient. Recontextualisation et transférabilité des compétences acquises sont essentielles.

Mémoire-Recherche :
La troisième forme de mémoire est un mémoire de type recherche. Il peut être de type clinique (= centré patient), ou de type professionnel (= centré sur l’exercice professionnel du médecin généraliste).

Dans tous les cas, le mémoire est étayé par des références bibliographiques, présentées idéalement selon la norme de Vancouver.
La qualité du mémoire ne se mesure pas au nombre impressionnant de pages (à titre informatif : 15 à 25 pages, bibliographie comprise).
Le mémoire peut revêtir la forme d’un article original publié ou soumis en tant que premier auteur.

Le document papier est préférentiellement écrit, pour des raisons de lisibilité, avec une police Arial, taille douze, interligne 1.5, justifiée. Le document papier devra être paginé et relié (pas simplement agrafé).
La page de couverture comprend : Université de Reims Champagne Ardenne – Faculté de médecine – Titre du mémoire – Nom et prénom de l’interne – Directeur de mémoire éventuel – date de soutenance.
Les noms des membres du comité ne doivent pas figurer dans le mémoire.

Les exemplaires nécessaires doivent être remis au plus tard 15 jours avant la soutenance à la scolarité et à chaque membre du comité d’évaluation. Les mémoires ne doivent pas être envoyés en recommandé ; le choix d’un envoi courrier simple ou courrier « suivi » est suffisant, ou encore remis en main propre.
Le mémoire doit être mis en ligne (ainsi que le document de synthèse) dans les mêmes délais.
Tout retard pour déposer son mémoire sera examiné par le Coordonnateur et pourra donner lieu à une sanction, allant d’une minoration de la note finale à l’impossibilité de soutenir devant le comité d’évaluation avec interdiction de se présenter à l’examen de rattrapage.
Cette disposition pourra être aménagée par le coordonnateur en cas de difficulté reconnue comme étant secondaire à une cause de force majeure, non imputable à la procrastination de l’interne.

Il est rappelé la nécessité de procéder à des sauvegardes informatiques régulières et de se présenter à la soutenance avec un ou deux supports (clés USB) dans le cas où il y aurait une défaillance du réseau Internet (maintenance, panne, etc.).